Voilà, j'ai fais ça hier soir et tout à l'heure, j'espère que ça convient. Pour l'histoire, ne pas se tenir à l'impression d'un départ de shojo qu'il y a au début.

Infos Digisauveur

Nom : Daniel (Mais il ne le mentionnera jamais)
Prénom : Taka
Surnom : Va raccourcir un prénom déjà court ! x)
Âge : 17 ans (Né en 1983)
Digimon : BlackMonodramon
Type de Digivice : D-3 noir (Représentant le Désespoir et le néant.)
Description physique (Note : j'avais oublié que je n'avais pas fini cette description ! J'ai mal relu mon Word ><) : Physiquement très proche d’Izaki. La différence notable est que ses cheveux cachent l'éclat de ses yeux, comme rougis par le sang qu'il a vu versé. L’explication sera donné durant un RP ^^ Comme les possesseurs des D-3 originaux de la série, ses vêtements ont changé en arrivant dans le monde digital. Il porte une longue cape noire, camouflant un tee-shirt blanc et un jean noir. Ses chaussures le sont également, rayées de rouge. Son visage trahit souvent une excitation malsaine, affichant un sourire inquiétant. La présence de son Tee-shirt blanc témoigne de la petite part de raison encore présente en lui.
Caractère : Taka est schizophrène. Tantôt complètement fou, meurtrier et incontrôlable, tantôt gentil et attentionné. Sa facette « gentille » est sa personnalité d’origine mais ressort très rarement, en général lorsqu'une scène similaire à celle qui l'a traumatisée apparait. Mais ça ne dure jamais longtemps, il pourrait même achever quelqu'un dans un accès de rage alors qu'il commence à prendre peur. Il a perdu l’esprit suite à… j’évite le spoiler pour l’histoire. Dans son autre facette, il prend grand plaisir à faire souffrir ses cibles et lance souvent des rires déments pendant ses activités macabres. Son but est la vengeance. (Vengeance de quoi ? Go lire l’histoire. : D)
Histoire : (Au moins dix lignes ? Eh bah vous êtes servis, les amis…)
Qui était-il ? Personne d’important. Quel était son rêve ? Il était simple et naïf. Et il venait de l’accomplir. Quel mal y-avait-il à n’être personne et à avoir un rêve naïf ? Aucun, se disait-il. Tout le monde était pareil. Il avait accompli son but principal dans la vie, beaucoup en riaient, c’était tellement stupide pour eux. Mais ça comptait beaucoup pour lui. Et pour quelqu’un d’autre, possédant autrefois le même idéal. Tous deux étaient seuls. Et ils s’étaient retrouvés. Là était leur but. Taka et Irina étaient heureux. Quels noms étranges, d’autant qu’ils étaient français. Pourquoi la mère de Taka l’avait-elle nommé « faucon » en japonais ? Il l’ignorait mais il trouvait cela stupide. Quant à Irina, elle se demandait pourquoi son nom signifiait « paix ». Mais après tout, quelle importance ?
Taka avait enfin pu la rencontrer. Après deux mois de relation via les réseaux sociaux. Ca avait été une rencontre tellement banale, alors qu’ils débattaient sur un manga. Le garçon avait alors commencé à s’intéresser à elle. Plus ils discutaient et plus ils se plaisaient et souffraient de la distance.
Mais désormais, ils étaient ensemble et heureux. Ils venaient de passer la meilleure nuit de leur vie, dans une des chambres les plus simples qui soient. Un lit collé à une cloison, une porte d’un côté, une fenêtre de l’autre. Une ou deux affiches sur les murs.
Le jeune homme était couché, la tête contre le mur en tête de son matelas. Sur lui, Irina tentait de mieux se blottir contre le corps du garçon. Il avait la sensation des cheveux de sa compagne de cœur dans sa main gauche et celle de son ventre dans sur sa paume droite. Sa main gauche caressait avec bonheur la coiffure de la jeune fille alors qu’il sentait un étrange parfum.
-Tu sens bon… souffla-t-il, dans son euphorie.
-Ah ? dit-elle, aussi heureuse que surprise. Je ne mets pourtant rien…
-Ce doit être naturel.
-Ou ton imagination ?
Il rit doucement, évitant d’interpeler sa mère, couchée un peu plus loin dans l’étage.
-C’est bien possible, répondit-il enfin.
Elle se leva et prit l’ordinateur portable du garçon sur ses jambes.
-Que fais-tu ?
-Je cherche un shojo… Il y a une phrase que je n’ai pas pu traduire dans la version américaine.
-Tu fais ça maintenant ? Et pourquoi ?
-Ton niveau est bien meilleur que le mien ! … Ah, voilà ! Tu peux me le lire à haute voix ?
Elle lui tendit l’appareil. Il le prit et traduisit l’unique phrase présente sur la planche scannée :
-Je t’aimerais toujours… Tu ne pouvais vraiment pas traduire cette…
Sans le laisser finir, elle referma la machine et l’embrassa longuement. Il se laissa entraîner et lui rendit son baiser avec passion. Il était heureux, elle aussi. Sa vie, à cet instant, était parfaite. Au bout de quelques minutes, elle rompit le baiser et reprit l’ordinateur pour commencer à écrire.
-Que fais-tu ? demanda le jeune homme en s’approchant.
-Ne regarde pas, lui dit-elle en lui cachant l’écran avec son visage souriant. Je te montrerais tout à l’heure.
-Je vais nous chercher quelque chose à boire, proposa-t-il.
-D’accord ! Evite juste de réveiller ta mère.
Il descendit avec discrétion jusqu’à la salle de vie. C’était une pièce qui faisait la surface totale de la maison, incluant la salle à manger, le salon et la cuisine. Cette dernière était en partie séparée du reste de la pièce par un semblant de mini bar. Taka ouvrit le réfrigérateur pour attraper deux cannettes lorsqu’il entendit la vibration de son téléphone portable sur la table. Il alla l’attraper et vit qu’il avait un appel de sa sœur.
-Pourquoi un appel à cette heure-ci ? se demanda-t-il à voix basse.
Il répondit et entendit la voix de son aînée, inquiète. Elle était sa demi-sœur en réalité. Alors qu’il avait actuellement seize ans, elle en avait vingt-sept.
-Allo, Taka ?
-Oui, Géraldine ?
-Dis-moi… Maman va bien ?
-Eh bien… Oui, pourquoi ?
-Elle… n’avait pas l’air stressée ce soir ?
-Pourquoi ?
-Réponds-moi simplement.
-Je n’en sais rien… J’étais trop occupé avec Irina pour m’en rendre compte.
-Abrutit !
-Hein ?
Elle resta silencieuse un moment. Le garçon s’inquiéta. Sa soirée n’était peut-être pas si parfaite.
-Bon, je t’explique… Tu sais qu’elle prend des médicaments ?
-Oui, pour ses problèmes mentaux mineurs.
-C’est ce que t’as raconté ton père.
-Comment ça ?
-Elle a des problèmes bien plus graves que ça… Tu sais qu’elle est comme ça depuis la mort de notre oncle ?
-Ouais, celui qu’on a pas connu. Et ?
-Elle… a des dédoublements de personnalité. Vérifie ses médocs.
-Tu déconnes ?
-Non ! Vérifie !
Le garçon s’exécuta et commença à paniquer. Elle avait une boite composée de sept tiroirs, un par jour, chacun comportant la quantité de pilules et autres qu’elle devait prendre. Les trois derniers étaient encore pleins. Cela faisait trois jours qu’elle n’avait pas pris son traitement.
-Elle n’a rien prit depuis trois jours ! s’angoissa-t-il au téléphone. Quels sont les symptômes de ses dédoublements ?!
-Elle peut devenir, au mieux violente verbalement, au pire, meurtrière ! Dépêche-toi d’aller voir si elle n’a pas bougé de sa chambre !
-J’y fon…
Un hurlement strident se fit entendre à l’étage. Le garçon sursauta et son front commença à se couvrir de sueur.
-Irina… reconnut-il.
-Taka ? demanda sa sœur au téléphone.
Il ne répondit pas. Il raccrocha et fonça à l’étage. Il entendit des bruits de pas. Sa compagne sortait de sa chambre à reculons, l’épaule blessée. Le jeune homme courut vers elle. Le temps se mit à ralentir pour lui, chose due à l’adrénaline. Il entendait ses pas. Longs et bruyants. Il la voyait se tourner vers lui. Il voyait également le couteau qui se dirigeait vers la poitrine de sa bien-aimée, lentement. Il voyait ses lèvres bouger, un sourire étrange, le visage ruisselant de larmes.
-Tak…
Il hurla alors que la lame se plantait dans la chair et transperçait le cœur d’Irina. Elle chuta violemment au sol, comme une poupée. Il voulut plonger sur elle mais la main de l’assassin fut plus rapide et récupéra l’arme, apeurant le garçon.
-Qu-Qui êtes-vous… ?
Alors que la personne se dégageait de la porte qui la cachait, une pensée traversa l’esprit de Taka. Il pria pour avoir tord.
-Ma… Maman… ? C’est toi ?
Le tueur sortit de l’entrebâillement. Ou plus exactement, la tueuse. Sa mère. Elle lui afficha un sourire affectif.
-Et voilà, mon chéri ! Cette truie n’essaiera plus jamais de nous séparer ! Tu peux rester avec ta maman, pour toujours !
Il chuta au sol et vit à nouveau le cadavre.
-Non… suppliait-il en pleurant. Tu… Tu n’es pas ma mère…
-Tu ne reconnais plus ta maman ? Oooh, mon pauvre chéri… Ce n’est pas grave si toi aussi, tu ne me reconnais pas…
-… ?
Elle s’approcha de lui. Son corps refusait de bouger, paralysé par la peur. La lame du couteau se colla à sa gorge mais ne la trancha pas.
-Je n’ai qu’à t’endormir avec douceur, comme les autres !
Dans un réflexe de peur, il recula en glissant en arrière sur le parquet à l’aide de ses mains, échappant à l’arme blanche. Dans un hurlement inhumain, sa mère lui plongea dessus.
Il analysa sa situation. Sa mère tentait de le tuer. Sa petite amie, la chose la plus importante dans sa vie, venait de mourir. Elle était étalée sur le sol dans une grande flaque de sang et ne bougeait plus. Derrière lui, il y avait un manche en bois donc le bout était taillé en pique, dirigé vers le plafond. Son instinct de survit prima. Il frappa la base du morceau de bois qui bascula vers l’avant, se pointant vers sa mère qui lui plongeait dessus. Il ferma les yeux. Un bruit immonde d’empalement se fit entendre et il sentit un liquide chaud toucher son visage. Il ne les rouvrit pas les yeux durant un long moment. Il restait dans son monde. Refusait la réalité. S’il ouvrait les yeux, il savait ce qu’il verrait. Et il ne voulait pas voir.
Les minutes passèrent. Puis les heures. C’était bientôt le matin. Et il n’avait pas bougé. Autant physiquement que mentalement. Ses pensées étaient les même que les heures précédentes. Une lueur de soleil passa à travers la fenêtre, attirant son attention. Il ouvrit les yeux. Il vit les deux cadavres. Aucune émotion ne ressortit. Seules des larmes coulèrent, abondamment. Son corps réagissait mais son esprit était silencieux. Il se leva et s’arrêta devant la jeune fille. Il posa sa main droite et la secoua. Aucune réaction, si ce n’est le son du liquide rouge et poisseux remué par le cadavre en mouvement. Alors le garçon pensa à son autre main. Son téléphone y était encore. Il le regarda. Il avait un message. Il lut le nom de l’expéditeur, ses mots lui brulant la gorge tant elle était sèche :
-Black… BlackMonodramon ?
Il lut alors le contenu du message. Il lui disait de s’approcher de son ordinateur. Il suivit l’instruction et vit l’écran éclaboussé de sang. Mais il fonctionnait encore. La batterie aurait du être vide. Il s’approcha de l’écran. Dessus, on voyait paraître le texte qu’écrivait Irina avant de mourir. C’était une histoire d’amour. La leur. C’était écrit avec naïveté mais resplendissait de bonheur. La suite, cependant, ne signifiait rien. Sa main avait du déraper sur le clavier. Le jeune homme s’approcha et termina l’histoire par une simple phrase : « Taka tomba dans un gouffre de désespoir. »
Lorsqu’il eut écrit le mot « désespoir », il jeta sa tête en arrière et hurla d’un cri long et insupportable, empli d’envies de vengeance et de destruction envers le monde entier. C’est alors que l’écran de la machine s’illumina, et qu’un cri monstrueux accompagna le garçon. Les deux hurlements cessèrent au bout de quelques secondes et Taka observa sa main gauche. Son téléphona se mua en un étrange appareil de couleur noire. Il l’ignorait mais c’était un « D-3 ». La lumière venant de son ordinateur s’intensifia, prenant une teinte noire et il se laissa emporter par le flux noir. Lorsque la lumière s’estompa, il avait disparu, laissant derrière lui deux cadavres et une histoire d’amour inachevée, sans cohérence sur un appareil qui s’éteignait lentement, perdant ses ultimes données non-enregistrées.

Camp souhaité : Neutre

Digimon du Digisauveur



Nom : BlackMonodramon
Surnom : Mono
Âge : 0 (Juste né)
Description physique : BlackMonodramon est tout simplement un Monodramon noir. Monodramon est un petit dragon dont les ailes sont placées sur ses bras, au lieu d'être dans son dos. Il possède deux rayures rouges sur le torse ainsi que sur ses ailes et sa tête, relevée par une crête à l’arrière de son crâne. Ses pattes sont allongées par d'étranges griffes aiguisées, en forme de vrilles. Il possède une rangée de longues dents aiguisées, particulièrement "pratiques" pour déchiqueter ce qui tombe dans sa gueule. Ses deux pupilles, grandes et cramoisies, témoignent de sa ressemblance à son partenaire.
Caractère : Tout aussi sombre que son partenaire, il suivra le moindre de ses ordres et pourra même accomplir quelques « extras » pour son propre plaisir. Il ne souffre d’aucun problème mental mais n’ayant eu aucun repère pour savoir comment se comporter, il sera donc comme Taka lors de ses crises de folie. Le fait qu'il ait été créé lors de la minuscule dépression du garçon le rend violent et lui donne souvent tendance à vouloir absolument tout détruire, comme pour aider son partenaire dans sa vengeance envers le monde. Les seules moments où il paraîtrait être un gentil digimon sont lorsque Taka est angoissé ou tout simplement lorsqu’il s’inquiète pour lui.
Niveau de Digivolution : Disciple
Ligne de Digivolution : BlackKetomon – BlackHopmon –BlackMonodramon – BlackStrikedramon – BlackCyberdramon - BlackJustimon
Autres infos sur le Digimon : Aucune

Histoire sympa mais les descriptions et caractères sont trop courts. "

'Fais ch*er Je modifie ça.

Dis-moi Mimil, tu pourrais colorer Monodramon en noir avec la petite description que j'en ai fais pour moi là-dessus s'il-te-plait ?



Sinon, je demanderais à quelqu'un d'autre parce que moi, à part Paint...

Ok, si tu veux. Je vais essayer. =)

EDIT : Voilà, j'espère que c'est comme ça que tu le voulais ... Le noir est assez dur à mettre. ^^'

Oh my fucking god, C'EST PARFAIT ! MERCIII !

Et niveau descriptions & caractères, c'est mieux ? =)

Ah, oui, c'est mieux ! C'est même bon !!

J'avais oublié de te valider, désolée !

Merci ! (Ha la méchante quoi. )

Tu vois, je suis démoniaque !! 8D

Validé Taka ! Bonne reprise de RP ! =)