Image du personnage :

Non, Rosabelle ne se démarque pas dans le foule par sa grande taille ou par son poids trop important. Moyenne niveau taille, et d’un poids honorable, ce n’est pas quelqu’un qu’on verra dépasser au-dessus de tout le monde. Blanche de peau, elle se distingue cependant d’assez loin quand on regarde ses cheveux. En effet, ils sont certes longs et légèrement bouclés, et ça ne les empêche pas d’être rose. N’imaginez cependant pas qu’ils ressemblent à de la barbe à papa. Quelqu’un risquerait d’essayer de les manger, et je ne pense pas que Rosabelle apprécierait. Niveau visage, ce n’est pas très compliqué. Traits fins, menton pointu, ainsi que deux grands yeux marron. Ça devrait être à peu près tout, de ce côté-là…
Niveau vestimentaire, ne recherchez pas des habits tellement compliqué qu’on y mettrait cinq heures chaque matin à s’habiller. Sa tenue se compose d’habits d’été ; comme haut, elle porte un T-shirt noir et blanc, et comme bas, une jupe rose. Pas de quoi s’affoler, donc. Comme chaussures, elle possède des bottines noires et blanches, et porte aussi des chaussettes blanche. Niveau accessoires, Rosabelle ne porte pas grand-chose, juste une écharpe rouge autour du cou, et une barrette en forme de fleur, accrochée à ses cheveux.

Elle est plutôt active, comme fille. Souvent, presque toujours, de bonne humeur, pratiquement rien ne peut faire disparaître cette bonne humeur. Elle a tendance à se déplacer souvent un peu partout. Oui, car elle ne tient pas vraiment en place, la petite. Elle n’est pas une pipelette pour autant, cependant, elle aime bien quand les choses se font vite et bien. Elle est toujours persuadée que si tout le monde se met à une tâche, elle sera forcément accomplie, car la majorité entreprend à l’effectuer. Aussi, elle aime bien donner des ordres, ce qui ne doit pas vraiment être au goût de tout le monde, il faut bien l’avouer. Malgré son humeur très souvent positive, elle ne s’entend pas forcément avec tout le monde…

Les parents de Rosabelle étaient riches. Non que dis-je ? Très riches, plutôt. Richissimes, je dois dire. Et ça n’a pas changé, ils le sont toujours. La jeune fille est née dans un concept de richesses et d’immédiateté. Elle n’allait pas à l’école, mais avait des cours particuliers dans sa demeure. Oui, on ne pouvait parler de « maison », en parlant de l’endroit où elle habitait avec ses parents. L’endroit était tellement grand que s’y perdre était très facile.
Disons que même Rosabelle n’avait pas encore tout visité, même à ses quatorze ans. Un jour, vers 21 heures, alors que ses parents étaient partis en soirée, elle décida de fouiller dans les pièces qu’elle n’avait jamais vu auparavant. Elle était persuadée qu’il y avait un trésor caché dans l’une d’entre elles. Elle tomba après un moment sur une pièce fermée à clé. Elle essaya de forcer la porte, mais ne parvint pas entrer. Elle tenta de la casser, mais rien n’y faisait : la porte restait bien fermée. Finalement, au comble du désespoir à force de constater que cette porte ne s’ouvrirait jamais, elle toqua. La porte s’ouvrit toute seule. Oui, en fait, elle était déjà ouverte, excepté qu’il fallait pousser, et pas tirer… En entrant dedans, elle remarqua qu’il n’y avait rien à l’intérieur, sauf une grande armoire. Elle se précipita vers elle, s’attendant à voir un trésor exceptionnel. Mais non, à l’intérieur, il n’y avait rien, même pas un vêtement, juste des moutons de poussière. Mais, en y regardant mieux, elle vit quelque chose au fond. L’armoire semblait plus grande à l’intérieur. Sur le coup, ça lui rappela un vieux livre qu’elle avait lu, dont le titre était Narnia. Elle avança dans l’armoire, du coup amusée par la perspective de se retrouver dans un autre monde. Même si ça n’était pas possible, bien sûr. Le problème, c’est que quand elle se retrouva au bout de l’armoire, elle se retrouva effectivement dans un autre monde. Surprise, elle se retourna pour rentrer chez elle, mais l’endroit où elle était passée avait disparu. C’était bien sa veine ! Ça ne marchait pas comme dans le livre ! C’était de la camelote !
Elle se dit que si elle attendait là, ses parents finiraient par rentrer de soirée et la chercherait ici pour la ramener à la maison. Elle s’assit donc sur le sol et attendit un moment qui lui sembla une éternité. Finalement, quelqu’un s’approchait d’elle, une personne qu’elle ne connaissait pas, mais apparemment, cet individu vivait dans son armoire. Il se présenta en disant qu’il s’appelait Wolfgang et qu’il était un Wizardmon, un truc appelé monstre digital, enfin bref, Rosabelle ne comprit pas pourquoi il venait lui parler, il disait qu’il pensait qu’il l’attendait, mais elle, elle trouvait que c’était vraiment une mauvaise façon de draguer. Finalement, en regardant un moment ce type inconnu, la première chose que Rosabelle réussit à prononcer, ce fut un magnifique « Ah bon, y a des gens moches dans mon armoire ? »
Oui, c’était le début d’une longue amitié. Enfin je crois.

Image du Digimon :

D’un aspect humanoïde et vêtu d’un grand chapeau de sorcier violet, en clair voilà la description de Wolfgang, parce que c’est Wizardmon ! Voilà, voilà ! C’est fini !
Euh non, tu t’en vas pas et tu restes là, c’était pas bien ça comme description physique.
Mais euh…

Disons que Wolfgang a l’air d’un Wizardmon tout à fait normal, excepté au niveau de la taille, où la sienne est légèrement plus petite que la normale. Il possède des cheveux bruns et longs, le plus clair du temps attachés. Il a certaines mèches qui lui passent devant la figure, sûrement une preuve de sa flemme à les couper ou les coiffer. Ses deux yeux sont verts.

Extrêmement râleur, Wolfgang peut être, à certain moment, quelqu’un de très difficile à un vivre. Il a des périodes où il peut être un vrai effronté, qui passe son temps à chercher les autres. Il est cependant, malgré ce caractère parfois insolent, très lâche, il aura tendance à s’enfuir en voyant un ennemi plutôt que de lui faire face. Autant dire que ça ne fait pas de lui quelqu’un de très utile quand il disparait quand on a besoin de lui. Imaginez que son ennemi est un tas de vaisselle sale ; n’imaginez pas qu’il ira faire la plonge !